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Ulysse, le nouveau voyage de la troupe J.Cartier

Après le succès de Cartouche, la troupe niortaise présentera sa nouvelle comédie musicale, les 8 et 9 février au Patronage laïque mise en scène par Franck Buffeteau.

Dans la salle des fêtes de Saint-Ligaire, ce dimanche, c’est jour de filage. L’une des dernières grandes répétitions avec l’essayage des costumes. La troupe Jacques-Cartier apporte la dernière touche à son nouveau spectacle, une comédie musicale intitulée « Ulysse, le dernier voyage. » Après le succès des deux précédentes créations ; Jacques Cartier et les Iroquois et Cartouche qui avaient rassemblé trente musiciens et autant de choristes pour sa version symphonique, Serge Bouloré, s’est de nouveau attelé à l’écriture des paroles et des musique de ce troisième opus. « J’aime travailler sur les époques, sur l’histoire confie-t-il. Ulysse est un personnage qui m’intéressait beaucoup parce qu’il parle à tout le monde. J’ai fouillé un peu dans les textes d’Homère pour trouver l’inspiration créer le scénario, la trame de l’histoire sur laquelle je pourrais ajouter des chansons. » Vingt-deux comédiens-chanteurs et dix danseuses Le propos de ce spectacle présenté pour le week-end des 8 et 9 février au Patronage laïque ne veut pas seulement historique. « Nous voulions ajouter des éléments romanesque, une trahison, des histoires d’amour et de l’humour », précise le président de l’association Serge Rimark. « Il s’agit d’être dans la critique de notre société hyperconnectée et dépendante de la technique », renchérit Serge Bouloré. Trente-cinq chansons pour deux actes, vingt-deux comédiens-chanteurs et dix danseuses, voilà pour la partition chiffrées d’Ulysse, le dernier voyage, le tout pour un budget de 12.500 €. Dans la troupe Jacques-Cartier, on ne fait pas les choses à moitié. Pour les costumes, c’est Gaëlle Camus qui a joué des ciseaux et des aiguilles. Les décors, Claude Courrèges les a imaginés. Quant à la chorégraphie, Tiphanie Hansel, de l’école Prahecq Dance Company, elle a choisi les chansons les plus adaptées, près de la moitié, pour que « les danseuses soient en harmonie avec les textes et subliment certaines mélodies. » Un an et demi après le début du travail, le regard encore ébloui par les 4.500 spectateurs rassemblés lors des dix-sept représentations de Cartouche, la troupe Jacques-Cartier se prépare à une belle odyssée. Ulysse semble bien équipé pour un beau voyage.

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